la marche aux pages

Le blog de Fiolof - Lectures, relectures, coups de coeur, escales.

jeudi 3 septembre 2020

> Le poème du jeudi (#173)

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  Du ciel nulle plainte   Du ciel nulle plainte De la terre nulle plainte Jour et nuit ils se regardent Ton visage dans un mouchoir e...
jeudi 27 août 2020

> Le poème du jeudi (#172)

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    Les mots sont des oiseaux Les mots sont des oiseaux. Où sont-ils allés se percher, Les ailes fatiguées, Pour échapper au crépuscu...
jeudi 20 août 2020

> Le poème du jeudi (#171)

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  Moi, la brebis inepte, personne n’est plus ignare que moi je me demande qui aura pitié du loup et plus encore qui donnera au loup s...
jeudi 13 août 2020

> Le poème du jeudi (#170)

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    La sottise est comme le bambou : vide au-dedans mais inébranlable. / Tao Li Fu, in Le Livre des petits étonnements du sage . Chey...
jeudi 6 août 2020

> Le poème du jeudi (#169)

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    […] mais mange, mangeur ! – crois que la vie te regarde encor ; découvre-toi le cœur, avale, abuse de ces bouchées confuses, ...
jeudi 30 juillet 2020

> Le poème du jeudi (#168)

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Triste vitesse à l’aube comme sa mère qui fuyait pour éviter le couteau du père comme son grand frère qui attendait que le père t...
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