Pieuse comme la branche
ployée par tant de neiges
joyeuse comme un bûcher
sur des collines d’oubli
Sur des lames acérées
en blanches tuniques d’orties
je t’apprendrai, mon âme, ce pas d’adieu…
Cristina Campo, Le Tigre Absence,
Arfuyen, 1996. Traduit de l’italien par Monique Baccelli.
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