Mes pleurs coulaient parmi vos rires :
Ma blessure saignait en moi seul.
Ma maison est pour moi une bête féroce,
Et sans repos j'erre par les routes.
Je t'en prie,ô maître des cieux,
Aplanis les chemins sous mes pas.
Jean Amrouche, Chants berbères de Kabylie. L'Harmattan, 1988. Traduit du berbère par Tassadit Yacine.
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